En 1997, lors d’un enseignement de quelques jours sur le lâcher-prise dans un centre de méditation bouddhiste en Dordogne, j’ai fait connaissance avec le thème de « l’impermanence ». Ma vision personnelle du mouvement de la vie s’est considérablement modifiée.
Je me suis mise à accueillir le changement. L’accueillir, le reconnaître et me l’autoriser…
Ceci me parait être un des principes de base pour nous remettre en question, nous transformer et renaître dans l’épreuve.
L’impermanence est à mon sens l’outil de la non-saisie. Cette attention au mouvement constant de la vie qui nous renseigne sur les possibilités du moment. Puis vient celui de l’intention, qui est une action de volonté !
L’attention renforce et l’intention transforme…